Il était une fois, sur le mur d'une salle de classe d'un vieux lycée toulousain, une inscription.
Tracée d'une main légère à la craie, elle ne contenait que trois mots : « J'aimerais tant… ».
Les jours, les semaines, les mois sont passés : ces mots peu à peu se sont estompés. Ils ne sont désormais plus qu'une ombre.
Avant que cette ombre de nos mémoires ne s'efface, j’ai voulu conter leur histoire.